Un bout de bonheur, une de mes plus grandes
Un bout de bonheur, une de mes plus grandes amitiés.
Pour sa confiance, sa motivation, son amour, son sourire, son rire, sa franchise, sa culture, ses manières, ses mots, sa façon de penser, de dire les choses. Un des plus beaux souvenirs de Ronsard. Une des plus importante, déjà. Il est tard je ne parviens pas à écrire, mais tant pis, je t'aime.
Solidays 2008
Micky Green-Alpha Blondy-Cocoon-Patrice-Vitalic-Agoria-Cali-Beat Assailant-Asa-Hocus Pocus-Grand Corps Malade-Asian Dub Foundation-NTM-Jeanne Cherhal-Didier Wampas-Louis Bertignac-C2C-Etienne de Crécy-Caravan Palace- Rhesus-La Chanson de Dimanche-The Ting Tings-Cowboys Fringants-Foals-La Caravane passe-Toots and the Maytals.
Marie-Laure, Suzanne, Anne-claire, Laure(L)
c'est juste magnifique. l'air qui embaume la
c'est juste magnifique. l'air qui embaume la tequila, cet été qui semble si beau. vous qui avez manquer, le "toi je t'adore", mes larmes incessantes depuis un mois, cette musique, coldplay, cunning linguists, soko, cette vie de débauche, nos projets, nos espèrances, nos promesses, nos paroles, nos rires, nos sourires, c'est juste inoubliable, c'est juste grandiose, frida, viva la vida, espoir, joie, amitié, sûreté, confiance, tes yeux. burn this house, burn in blue, so lost whithout you, manque, tous autant que vous êtes, c'est splendide.
Montmartre - Rue Gabrielle, en face de Chez
Montmartre - Rue Gabrielle, en face de Chez Marie
Pierre, Lauriane&Jeanne
Jeanne
Pour les genoux qui tremblent, les Beatles, la place des Abesses, la crèches, Lola, la despé, mes larmes, Soko, une dernière chance, Pierre, Mailys, le RDVA, avenue Junot, le trottoir, les pelouses, la ligne 2, le canapé du salon, la baie vitrée, nos regrets, nos embrassades.
L*
Des moments parfaits comme Phillip Glass hier en vrai au Grand Palais, les soirées passées avec vous comme vendredi chez Pierre, le Vapi avec Manon quand on en a marre des cours, Beaubourg avec Léonore et Garance, les quais avec Christine, Orsay avec Elles* aussi, Paris avec Caroline ou avec Anne-Claire, le café du samedi matin avec Caroline, le café dominical, nos sessions sport chez Maud le mercredi, le RDVA avec eux, le whisky coca avec Louw*, les Kapla avec les filles, Chantilly chez Pierre, l'appéro au Champ' à 19h.
Je te hais sinon: je vous hais Toi&Toi aussi.
Comme je regrette toutes les bonnes&belles choses que j'ai pu dire à propos de toi. Tu me dégoûtes à présent. Depuis quelques jours je ne ressens que haine envers toi et ce n'est pas plus mal car je le sais : mes larmes et mes lamentations ne te feront pas revenir et puis surtout, tu ne le mérites pas. Les photos de toi ne sont plus là, je ne supportais plus de te voir tous les jours. Et puis le bracelet nouveau à mon poignet n'est plus ton cadeau mais un achat fait il y a quelques semaines, je préfère mentir à ce propos que d'avouer la dur vérité celle-ci : nous avons eu une histoire ensemble, un passé et il y a quelques temps maintenant un avenir. Mais tout ça c'est fini, ce n'est sans doute pas plus mal. A ton nom, je n'ai qu'une envie : vomir. Passer dans ta rue n'est plus épreuve, non, seulement une rue sans but ni signification. Je croyais ne jamais pouvoir me détacher de toi mais c'était faux, je te remercie de m'en avoir fait prendre conscience, sans cela je te supporterais encore, toi, ta fausse modestie, ta présence qui devenait insupportable un peu plus chaque jour. Ce sont deux années passées sans arrêt avec toi qui se finissent et c'est tellement bon. Cette année a été plus que magnifique, et tu n'y es pour rien. Je ne te dirais pas que je t'ai aimé, que j'ai tenu à toi, que je t'ai donné tout ce que j'avais, que tu m'as manqué, que tu étais quelqu'un pour moi car tu ne le mérites pas, tu n'es rien, tu as toujours été incapable de ressentir la même chose pour moi, tu étais bien trop lâche pour me le dire, fuir était plus simple, tant mieux : au moins je le sais maintenant et les questions sont complètement inutiles.
Il y a Cunnin Lynguist qui passe, j'ai un mal de crâne inimaginable, j'aurais préféré ne pas me rappeler ma journée de jeudi avec Louw* et la revivre une nouvelle fois. C'est fou, se rendre compte que ça finit aujourd'hui dans quelques heures. Tout est passé tellement vite cette année, c'était si bien.
J'essaie d'en rire aujourd'hui, je vois à quel point apparemment tu me connais mal finalement pour l'avoir interprété de cette façon, pour n'avoir rien demandé, cela devait tout de même bien t'arranger. De toute façon, ce n'est pas si important pour toi, ça ne l'a jamais été autant que pour moi, alors, quoi. On pensait que l'exemple défaisait la règle, c'était bien faux. Et dire que cela part d'un écrit rédigé avec colère et déception, les larmes aux yeux. Même elles savaient bien que tout était faux; évidemment c'est fort regrettable aujourd'hui encore les larmes sont venues souvent, mais peut-être qu'après tout tu préfères ça. Il faut juste du temps de mon côté, beaucoup de temps.
Je sais pas ce que t'attend de moi. Sans doute rien. Tu as oublié depuis longtemps ma personne sans doute. Je me demande si je m'excusais : est-ce que les choses changeraient ? Mais même, toi&moi on le sait bien ce que j'ai écrit je ne le pensais pas, tu le sais, et alors mes excuses sont inutiles. Et puis il y a cette fierté qui nous tient tous, qui nous empêche tout, mais un effort, une fois malheureuse, je ne pense pas...
Parce qu'évidemment il y a un manque, une peur
Parce qu'évidemment il y a un manque, une peur d'être toute seule, de rester tard dans la nuit à veiller seule, à finir mal, droguée, violée, perdue, malade. Des moments par millier défilent, des paroles, juste quelques instants. Ma vie est remplie, assez belle, avec un surplus de choses diverses et variées qui consistent à glander, dormir, fumer, boire, pleurer et rire : ce sont sans doute ces actions-là qui arrivent le plus. Pleurer, dormir et fumer surtout ces temps-ci, j'ai le mal du pays. Je hais les parisiens et toute cette ville qui semble soudainement superficielle. Je veux bouger, marcher longtemps, me barrer en courant et pleurer comme tout à l'heure devant le plais des congrès. Il y a un énorme vide qui me parait impossible
de remplir, et pourtant je sais que je ne peux pas me permettre de faire quelque chose : le caractère l'interdit, oui ça doit être cela. Le piano de Maximilian Hecker, les larmes montent encore, les frissons aussi : j'ai froid, c'est la cinquième fois de la journée que je pleure comme cela, je ne m'arrête plus : c'est pathétique. Ils sont tous là à continuer leur petit train-train habituel, à continuer leur vie, à la bâtir, à la rendre plus forte et puis moi je n'ai rien, je n'y parviens pas. Rien d'assez gratifiant, d'important. C'est comme si je leur en voulais de continuer ainsi alors que moi non, l'amitié devait être la valeur la plus sûre : je crois que c'est un mensonge, aucun sentiment n'est assez fort, aucune relation peut défaire la règle, rien, rien, rien, rien n'est assez fort, important, sincère, juste. Ashram, je rêve d'un retour en arrière, de fuir
très vite, d'excuses, de larmes de joies, de retrouvailles, de déclarations, de campagnes, de pertes à deux, trois. J'aurais voulu être cette personne qu'on admire, qu'on envie, qu'on aime, qu'on chérie : mais rien, rien n'est vrai, rien n'est possible plus maintenant, pas pour moi.